Bien choisir son forfait mobile pour une entreprise,

c’est avant tout faire le point sur vos besoins !

Vous pensez qu’un forfait mobile illimité résoudra tout ?

ProgetCom France, concessionnaire télécoms multi-opérateurs, tord le cou aux idées reçues et vous aide à choisir le ou les forfaits mobiles qui correspondent vraiment à votre besoin, pour ne plus laisser la marque décider à votre place qui est la meilleure pour vous.

1) Déterminer votre besoin

C’est le plus important, car c’est votre besoin qui va déterminer l’offre qui vous convient, et certainement pas l’inverse !

Nous vous accompagnons dans le diagnostic de votre poste télécoms :
– Combien de mobiles composent votre flotte ?
– Quel réseau est le plus efficient en terme de réception (nous ne parlons pas des offres ici, mais de celui qui vous donne la meilleure satisfaction technique) ?
– Avez-vous besoin d’uniformiser vos forfaits, d’optimiser vos coûts, … ?
– Quelles sont les utilisations de chacun (cela permettra autant de choisir un forfait qu’un terminal) ?
– Sachant que la data coûte cher, avez-vous besoin d’un fair-use important (limite de data disponible en Go) ?

– Le terminal mobile a une grande importance pour aller au bout d’un projet d’optimisation mobile.
En effet, l’intégration d’une marque dans votre ensemble informatique compte (apple / android / windows, …), la compatibilité des applications (agendas, synchronisation des contacts, …), les options qui faciliteront  votre activité (un appareil photo performant pour des agents immobiliers ou des architectes, un terminal solide pour des conducteurs de travaux, un plus grand espace de stockage pour des présentations lourdes à toujours avoir à portée de main, …)

– La durée restante de votre engagement sera prise en compte en fin d’étude pour la faisabilité.

2) Les différents forfaits

– Le forfait au compteur : pour les petits consommateurs qui appellent peu (moins de 3h d’appels), généralement qui sont plus souvent appelés. Peu émetteurs d’appels, de SMS ou de data, ces forfaits sont très économiques pour une utilisation basique.

– Le forfait téléphone professionnel ajustable permet d’adapter les consommations au forfait le moins cher. Toujours dans une utilisation surtout orientée voix, jusqu’à 5h de communication, ce forfait permet d’éviter les surprises de dépassements de forfaits.
Vous pouvez évidemment y ajouter des options (sms, mms, data,…), mais il devient moins adapté évidemment.

– Le forfait partagé, ou forfait flotte devient très intéressant lorsque vous diposez d’une flotte mobile d’au moins 10 mobiles. Cela vous permet d’optimiser votre facture grâce à 3 niveaux de consommateurs (basique, intermédiaire, illimité), et de maîtriser l’ensemble des consommations.
L’étude est un peu plus poussée, mais l’équilibre et l’économie en valent très souvent la peine !

– Le forfait illimité, derrière lequel se cache tout de même de nombreuses limitations, qui vaudrait à ce forfait de ne plus porter cette appellation.
Si les appels vers les fixes et les mobiles de France métropolitaine, les SMS et MMS sont illimités, il n’en est pas forcément de même pour la data, limitée selon le tarif (de 500 Mo à 20 Go, en passant par des paliers de 2, 3, 4, 5, 6 Go,…), ou même le nombre des correspondants souvent limité à 99 par mois (en tant que pro, imaginez appeler le bureau d’un client, pour son portable, voilà déjà 2 correspondants appelés !)

3) Le danger des présentations

Il existera forcément une offre qui vous conviendra chez l’un des opérateurs, toutefois soyez prudents face aux présentations commerciales. Demandez toujours à ce que les informations soient notées par écrit, avec les termes exacts et identiques à ceux que l’on vous énonce !

– La mention « à partir de » : Présente dans de nombreuses offres, vous êtes attirés par un prix attractif, sauf qu’au final, la satisfaction de votre besoin passe par l’ajout d’options telles que l’ajout d’un mobile, de la data, des l’international,…

– Les tarifs lissés : Souvent les opérateurs proposent des mois gratuits. Le principe consiste à vous annoncer cette gratuité, et à intégrer celle-ci dans le coût de votre forfait pour diminuer le montant.
Exemple : un forfait à 30€ pendant 24 mois coûtera en tout 720 €.
Avec 1 mois gratuit, le calcul revient à soustraire le prix d’1 mois de forfait au total, puis à diviser par la durée d’engagement, soit (720-30)/24 = 28,75 €.
Il est donc possible de vous proposer un forfait à 28,75 € par mois, mais ce sera un coût lissé et non ce que l’on appelle votre « bas de facture » !

– Le « bas de facture » : C’est ce qu’il faut connaître lorsque l’on vous fait une proposition, le montant que vous paierez réellement mensuellement, qui correspondra à vos forfaits et consommations.
Ce montant doit faire totale abstraction de toute remise, mois offerts, rachat de parc,…

– Les Remises : Rien n’est jamais gratuit.
Les mois offerts, les rachats de parc sont des remises qui peuvent se négocier mais qu’on voit souvent présentés de manière floue.
Encore une fois pensez à bien détailler l’ensemble des remises et à les dissocier de votre « bas de facture ».
Si l’on vous annonce la reprise de votre parc, est-ce vraiment un chèque ou un avoir qui vous sera appliqué sur vos prochaines factures, une remise sur vos nouveaux mobiles, etc… ?

4) Les infos à connaître

– Résiliation : Il n’existe pas de loi Chatel pour les professionnels permettant de résilier avant la fin de l’engagement en ne payant qu’1/3 des mois restants.
Faites attention à vos conditions générales de vente pour vérifier les obligations contractuelles lors des résiliations qui changent selon l’opérateur.

– Portabilité : Tous les opérateurs se doivent de vous donner votre numéro RIO qui vous permettra de demander la portabilité de votre numéro de mobile si vous souhaitez changer d’opérateur. La modalité d’obtention varie selon votre opérateur actuel (plateforme automatique, mail, numéro vert,…)

5) Vos préférences

– L’opérateur : chaque opérateur a ses atouts, et si chacun propose un service équivalent, vous pouvez préférer un opérateur selon vos préférences.

– Les forfaits : Au delà des préconisations, rien ne vous empêche de préférer un forfait, par liberté ou volonté.

– Le mobile : loin d’être superflu ou simple gadget, le mobile peut aussi être un outil qui vous apporte une satisfaction personnelle, esthétique, ou pratique.

Les avantages que nous pouvons vous apporter :

1) L’impartialité

Nous n’avons aucun parti pris pour un réseau en particulier.
Tandis qu’un opérateur vous proposera l’offre de son catalogue, qu’elle soit ou non adaptée, nous vous proposons l’offre qui sera la plus conforme à la satisfaction de votre besoin réel.

2) Préconisation / Préférence

Notre volonté est de vous accompagner, de vous aider à faire le bon choix, pas de vous imposer quoi que ce soit.
Nous pouvons également adapter nos préconisations à vos préférences personnelles, et à celles de vos collaborateurs.

3) Le coût

Ce service d’accompagnement, de courtage et de conseil est gratuit pour vous.
Au même titre qu’un commercial travaillant pour les opérateurs percevra un salaire et des primes, nous sommes rémunérés par les opérateurs pour tout service rendu pour leur compte.

N’attendez pas plus longtemps, contactez-nous et faites une étude d’optimisation de vos forfaits mobiles, et profitez-en également pour optimiser vos autres postes télécoms, téléphonie fixe, internet ou data mobile avec ProgetCom France, votre concessionnaire télécoms multi-opérateurs.

Qui de Numéricable ou de Bouygues Télécom va l’emporter

dans la course au rachat de SFR ?

Hier 20h, Vivendi, maison mère de l’opérateur SFR (Société Française du Radiotéléphone), recevait les copies des offres de Numéricable et de Bouygues Télécom pour le rachat de la branche télécom française.

Un peu d’histoire :

Créée en 1987 par la Compagnie Générale des Eaux pour concurrecer Radiocom 2000 de France Télécom, la société s’appelait d’abord Cegetel (Compagnie Générale des Télécom)

Devenue, suite aux fusions et rachats, SFR Cegetel puis SFR, l’entreprise est aujourd’hui le 2^ème opérateur du marché.

Mais alors pourquoi vendre ?

Cela fait plusieurs mois que le groupe Vivendi souhaite se concentrer sur ses activités musicales (Universal) et Télévisuelles (Canal +), et les marges des opérateurs ne sont plus du tout au beau fixe, c’est même la crise !

Pourtant, lors de la crise européenne du secteur des télécommunications de 2001 à 2003, il est le seul opérateur téléphonique à conserver des marges positives, ce qui lui a valu de faire l’objet de recherches en doctorats de gestion et de communication dans les universités françaises, allemandes et américaines !

Un vieux conflit humain Vincent Bolloré / Martin Bouygues ?

Martin Bouygues, à la tête du groupe Bouygues… et… oh, stupeur… mais qui donc est actionnaire de Vivendi ? Vincent Bolloré, tiens donc !!

Martin Bouygues est le témoin du second mariage de Nicolas Sarkozy ainsi que le parrain de son fils Louis.

Vincent Bolloré est un proche ami de Nicolas Sarkozy, jusqu’en 2012 où il déclare qu’il votera à gauche…

Ok super.

Mais surtout, c’est là que le bât blesse, en 1997 Vincent Bolloré tente de s’emparer du groupe Bouygues par une intrusion peu appréciée de Martin Bouygues.

Ce conflit rapporté 230 millions d’euros à Vincent Bolloré tandis que Martin Bouygues a dû faire appel à François Pinault pour l’aider !

Martin Bouygues fait donc une offre à Vincent Bolloré ?

Bon, soit, oublions ce détail et parlons concurrence :

• Orange, SFR, Bouygues et Free

Impossible d’imaginer Orange racheter SFR, il n’y a d’ailleurs même pas eu de proposition.

Orange serait dans une telle situation de quasi monopole, que toute la bataille menée par Bruxelles et l’Arcep pour conserver une véritable concurrence tomberait littéralement à l’eau !

Cette situation ne laisserait aucune chance à Bouygues ou Free qui se retrouveraient écrasés sous le poids du mastodonte.

• Free, SFR, Bouygues et Orange

D’abord, soyons clairs, Vincent Bolloré n’aime pas Xavier Niel. Et là tout ce que je vous ai dit plus haut sur la vieille rancœur Bouygues / Bolloré prend tout son sens, car force est de constater que comme ils ne s’aiment pas, ils ne fusionnent pas…

D’autre part, l’Arcep met en avant le fait que cette fusion provoquerait une trop grosse présence, totalement « duopolistique », sur la partie data / ADSL, où Bouygues est totalement absent et se verrait désavantagé, alors qu’il est en pleine conquête du marché !

• Bouygues, SFR, Orange et Free

Si Bouygues rachète SFR, il devra faire une concession de poids, céder une partie de son réseau à Free. On sait aujourd’hui que Free est un mauvais élève infrastructurel, et que suite à la reprise de son pouvoir de sanction de l’ARCEP, le seul risque est que l’opérateur soit justement sanctionné voire obligé à arrêter son activité !!

Donc, si Bouygues rachète SFR, Free récupère de l’infrastructure réseau qui lui fait défaut.

Si Orange et SFR ont tenté de plomber Free en refusant tout accord, cette option permettra au trublion de rester encore dans la place…

Si Bouygues achète SFR, nous sommes également dans une situation particulièrement redoutée par les consommateurs, celle d’une augmentation des tarifs,…

Et oui, moins d’opérateur = moins de concurrence = plus de parts de marchés même à prix plus élevé…

C’est la situation privilégiée par Orange… étonnant non ?

• Numéricable, SFR, Orange et Free

Et oui, Free a toujours son implication !

Numéricable, avec à sa tête le très discret Patrick Drahi, montre une véritable présence en terme de développement des infrastructures fibres.

Nous serions dans un schéma où il y aurait toujours 4 vrais opérateurs du fait de la véritable complémentarité de SFR et de Numéricable.

Le seul problème est que nous revoilà avec notre trublion Free, très en retard sur le développement de son infrastructure, Orange face à un opérateur dont le poids infrastructurel peut être un véritable danger, et Bouygues qui serait freiné dans sa course !!

Qui va racheter ?

Voici la grande question depuis ces dernières 24h.

ProgetCom se positionne toujours du côté de ses clients, c’est donc tout naturellement que nous espérons que ce sera Numéricable.

Nous admettons d’ailleurs difficilement qu’un opérateur qui a supprimé des milliers de postes l’an dernier dans sa branche Télécom, revienne aujourd’hui avec une offre de plusieurs milliards pour racheter le principal concurrent d’Orange.

Oui, nous parlons bien de Bouygues.

 Nous attendons impatiemment la suite de la bataille !!